Tu parles aujourd’hui de la nécessité d’avoir un discours apaisé ; tu dis qu’il y a la critique et il y a le discrédit ou la diffamation. Dans l’histoire récente de la Guinée, y a-t-il eu et y a-t-il encore un acteur politique plus violent, y compris physiquement, que toi ?
Qui avait dit qu’il n’est pas interdit de tuer un président ? N’était-ce pas une incitation à peine voilée au meurtre ?
Selon toi, où se situe la frontière entre la critique et le discrédit ou la diffamation ? Puisque tu es le « Monsieur Je sais tout » au service du chef de gang, Mamadi Doumbouya, peux-tu dire pourquoi ce dernier et sa bande dont tu fais partie, doivent être à l’abri de la critique ? Est-il devenu Dieu ?
Qui ne connaît et ne se souvient pas de tes méthodes de voyou dans ton engagement politique ?
Tu es très mal placé pour donner des leçons.
Tais-toi et mange.
𝗦𝗘𝗞𝗢𝗨 𝗞𝗢𝗨𝗡𝗗𝗢𝗨𝗡𝗢
𝗥𝗘𝗦𝗣𝗢𝗡𝗦𝗔𝗕𝗟𝗘 𝗗𝗘𝗦 𝗦𝗧𝗥𝗔𝗧𝗘𝗚𝗜𝗘𝗦 𝗘𝗧 𝗣𝗟𝗔𝗡𝗜𝗙𝗜𝗖𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡 𝗗𝗨 𝗙𝗡𝗗𝗖
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